1. Lequel ou lesquels de ces problèmes éventuels est/sont susceptibles d’empêcher les filles et les jeunes femmes d’aller demander de l’aide aux enseignant-e-s ou aux autorités éducatives au sujet des MGF? Les filles risquent de ne pas savoir qu’elles vont subir des MGF Les services sociaux sont toujours perçus comme servant à séparer les enfants de leurs familles Parler des MGF est tabou dans plusieurs communautés Les jeunes n’ont pas confiance en la capacité de compréhension de leur enseignant-e-s et ainsi qu’en leur capacité de répondre de manière appropriée Toutes les réponses précédentes2. Quelles complications de santé généralement associées aux MGF constituent des facteurs de risque qu’un-e enseignant-e pourrait relever? Une fille arrive toujours en retard à l’école Une fille passe régulièrement beaucoup de temps aux toilettes Une fille évite l’EPS ou a du mal avec les activités physiques Une fille attrape un rhume ou une grippe Une fille se plaint de règles abondantes et douloureuses qui semblent durer très longtemps B, C et E3. Dans votre école primaire locale, une des filles dans votre classe écrit une histoire où elle raconte son voyage en Afrique pendant les vacances d’été et avoir été emmenée à l’hôpital pour recevoir un « traitement spécial ». Que devrait faire l’enseignant-e? Ne pas garder ses préoccupations pour soi-même Suivre les protocoles de l’école sur la protection contre les MGF Partager ses préoccupations avec le responsable de la protection/le chargé de la protection des enfants et agir en conséquence A, B e C Aucune des réponses précédentes4. Qu’est-ce qui pourrait aider cet enseignant à répondre à cette situation de manière efficace? Une formation générale de haute qualité, lui permettant de répondre à une telle situation5. Est-ce que l’enseignant-e a raison de présumer que la fille concernée n’a pas subi de MGF? Non, à partir des informations fournies, il/elle ne peut pas faire cette présomption Loading…